publié le 17 novembre 2014
Avis prescrit par l'article 74 de la loi spéciale du 6 janvier 1989 Par jugement du 17 septembre 2014 en cause de M.C. contre l'ASBL « Koninklijk Orthopedagogisch Cen(...)
COUR CONSTITUTIONNELLE
   Avis prescrit par l'article 74 de la loi spéciale du 6 janvier 1989    Par jugement du 17 septembre 2014 en cause de M.C. contre l'ASBL «    Koninklijk Orthopedagogisch Centrum Antwerpen », avec, comme partie    intervenante, M. V.S., dont l'expédition est parvenue au greffe de la    Cour le 1er octobre 2014, le Tribunal de première instance d'Anvers,    division Malines, a posé la question préjudicielle suivante :    « L'ancien article 488bis, i), alinéa 2, du Code civil violait-il le    principe d'égalité, garanti par les articles 10 et 11 de la    Constitution, dans la mesure où cette disposition donnait à la    personne protégée (ou à ses héritiers) et/ou à l'administrateur    provisoire la faculté de poursuivre la nullité d'un acte mentionné à    l'article 488bis, f), du Code civil, accompli par la personne protégée    durant la période comprise entre le dépôt de la requête et    l'ordonnance de désignation de l'administrateur provisoire, mais non    celle d'un testament ou d'une donation faits durant la même période    par la personne protégée, alors qu'ensuite de la modification de    l'article 488bis, h), par la 
loi du 3 mai 2003Documents pertinents retrouvés
	
		
			
				
					type
					loi
				
				
					prom.
					03/05/2003
				
				
					pub. 
					02/06/2003
				
				
					numac 
					2003009444
				
			
		
			
				
					
						source
						service public federal justice
					
				
				
					Loi modifiant certaines dispositions de la deuxième partie du Code judiciaire  
				
			
		
	
	
		
			
				
					type
					loi
				
				
					prom.
					03/05/2003
				
				
					pub. 
					31/12/2003
				
				
					numac 
					2003009448
				
			
		
			
				
					
						source
						service public federal justice
					
				
				
					Loi modifiant la législation relative à la protection des biens des personnes totalement ou partiellement incapables d'en assumer la gestion en raison de leur état physique ou mental  
				
			
		
	fermer, elle ne pouvait plus    accomplir de tels actes, après l'ordonnance de désignation de    l'administrateur provisoire, que moyennant l'autorisation préalable du    juge de paix ? ».
Cette affaire est inscrite sous le numéro 6046 du rôle de la Cour.
Le greffier, F. Meersschaut