publié le 16 décembre 2004
Directive relative aux médecins effectuant des stages au cabinet d'un maître de stage agréé par le Ministre de la Santé publique et présentant un lien de parenté soit en ligne directe ascendante, soit en ligne collatérale A la Direction générale Il y a lieu de trouver ci-dessous la directive relative à la formation de candidats généralistes da(...)
Directive relative aux médecins effectuant des stages au cabinet d'un maître de stage agréé par le Ministre de la Santé publique et présentant un lien de parenté soit en ligne directe ascendante, soit en ligne collatérale A la Direction générale soins de santé primaires, au Conseil supérieur des médecins spécialistes et des médecins généralistes, à la Commission d'agrément des médecins généralistes, aux maîtres de stage et candidats généralistes.
Il y a lieu de trouver ci-dessous la directive relative à la formation de candidats généralistes dans le cabinet d'un parent maître de stage, sur proposition du Conseil supérieur des médecins spécialistes et des médecins généralistes, conformément à l'article 5, § 4, 3°, de l'arrêté royal du 21 avril 1983 fixant les modalités de l'agréation des médecins spécialistes et des médecins généralistes :
Article 1er.Le candidat généraliste ne peut effectuer plus de douze mois de stage dans le cabinet d'un maître de stage agréé par le Ministre de la Santé publique et présentant un lien de parenté en ligne directe ascendante. Cela n'est possible que chez un seul ascendant.
Art. 2.Les stages effectués au cabinet d'un maître de stage, présentant un lien de parenté en ligne collatérale ne sont pas limités dans leur durée.
Art. 3.Lorsque le candidat généraliste a suivi un stage au cabinet d'un ascendant, il ou elle ne peut plus suivre de stage dans le cabinet d'un parent collatéral. De même, le candidat généraliste ne peut plus suivre de stage auprès d'un parent collatéral lorsqu'il ou elle a suivi un stage dans le cabinet d'un parent ascendant.
Bruxelles, le 25 novembre 2004.
Le Ministre des Affaires sociales et de la Santé publique, R. DEMOTTE